Pour A.

traks a écrit:

mitcha a écrit:

traks a écrit:

ps:ç ZM

ta peur de zm toi ???

lala

mitcha a écrit:

traks a écrit:

mitcha a écrit:

traks a écrit:

ps:ç ZM

ta peur de zm toi ???

lala

bésa7 tu le trouve méchant avou .....

fairy a écrit:

j'ai lu plus de la moitié avt d'en etre gavée
"l'Emouuur " ça abruti ou quoi ?!
d'autant plus de coucher de belles phrases sur un fofo à la con alors que c elle que tu devrais ...

et c'est moi qui dit ça
oublie ça et bonne continuation NL

wallah ya sidi!!!

j'ai toujours été CONTRE les déclarations d'aimeur sur les fofo

NL a écrit:

A celle qui ne lira sans doute jamais ces lignesbah alors pk tu commences?, qui ne saura sans doute jamais ce que mon cœur éprouve, qui sans doute doit penser à autre chose c'est surrr si tu préféres nous l'écrire a nous au lieu ke tailles lui en parler ; enfin à tout sauf à moi et à ce bonheur qui m’est refusé, ce bonheur après lequel je cours sans même m’en rendre compte piégé que je suis dans le Doute et l’Incertitudeyouuu T pécimiste comme pa possible .
Oui, à toi que je vois presque tous les jours, à toi qui me souris avec amitié quand j’attends le sourire câlin d’une maîtresse attentionnée, oui toi qui occupes mes pensées le jour et mes rêves la nuit, toi la personnification de la grâce, de la beauté, du raffinement, de l’intelligence, toi qui t’élèves au dessus de toutes ces mortelles si fades oué bon la j'ai commenté déja à mes yeux et pourtant tu ne me vois pasbah oué atta t'as vu cmt tu traites les autres filles msaken …Tous les jours, j’ai l’occasion de te toucher, de sentir ton parfum suave qui m’enivre, je me contente de si peu alors que je désire bien plus, je te désire, je te veux mais non ma lâcheté me pétrifie, ma pusillanimité m’ôte les mots de la bouche, enfin la peur de perdre ces courts instants de félicité annihile toutes mes tentatives, relègue tous mes desseins au second plan, ma volonté s’efface laissant place à une suite de mots aussi ridicules que banals témoins de mon désarroi et de mon incapacité à transcender cette appréhension de l’échec… comme disait la vieille guenon,c'est qd on se contente de peu qu'ona kedal
J’écris, et plus les idées que je transcris me renvoient cette image que je m’efforce de ne pas regarder, détournant les yeux et refoulant mes envies, et pourtant le constat est là, sans appel, implacable, tel Cerbère gardant la porte des Enfers, je ne peux m’empêcher de t’aimer, oui le mot est lâchéyoupiiii .
Mais il est tellement plus facile de l’écrire, ce ne sont que quelques lettres disposées dans un certain ordre, c’est abstrait, une vague notion dans un océan flou où tout peut être et où le néant rejoint le vide pour former un toutoué tu devrais faire plus ke l'écrire je pense . Donc, me voici, face à cette feuille blanche, ce dépositaire de mes pensées envahissantes qui débordent de mon cerveau endolori qui n’arrive pas à maîtriser ce flux d’émotions qui jaillissent de mon cœur exsangue , j’en suis là, ultime recours d’une âme en peine errant dans le désert de la solitude et pourtant tu es là ; juste à mes cotés. Je te vois, je te sens, je te touche mêmefi el i3ada ifada , me torturant à trouver la plus belle tournure de phrase, celle qui te fera chavirer…Dix fois, cent fois, j’ai préparé cet instant que j’imagine magique, les mots sont choisis, le contexte aussi enfin toutes les conditions sont réuniesy apas ke les mots ki comptent tu sais,agis ya weddi . Eh bien dix fois, cent fois je me rétracte, je n’ose pas, la crainte d’atteindre un bonheur que je me crois interdit par des forces supérieures, le courage me manque, je balbutie, je bégaye, je sombre… pffff c koi cette lacheté a 2 balles
Pourtant, demain encore en te voyant j’y repenserai et demain encore j’échouerai . Ah pourquoi moi ? Pourquoi Toi ? Pourquoi nous ?telle est la kestion Je ne le saurais jamais, mon cœur, gardant jalousement ce secret, se plait à me supplicier, à me consumer petit à petit, à me regarder languir, il jouit de cette souffrance qui m’accable et l’accable tout autant mais c’est un cœur sadiquenon c toi le sadchik mat7assel8ach f ton coeur , un cœur noir qui n’attend plus rien et qui maintenant déverse sa haine sur moi, une fureur autodestructrice qui me ravage et ne me laisse aucun répit.
Un pas en avant, deux pas en arrière. Ainsi je vais, empruntant les chemins de traverse quand la grand route est libre, allant à pied quand les équipages m’attendent, sabotant moi-même une œuvre qui n’est même pas commencée. Mais commencera-t-elle seulement un jour ? Qui sait ? La providence est du coté des malheureux, dit-on, mais elle ne tolère pas les indécisions, les demi-mots, les non-dits, les sous-entendus, toute cette foule d’échappatoires dont j’use et abuse.
Voilà, ma lettre touche à sa fin, elle n’aura pas résolu mon problème, n’aura pas apaisé mon esprit ni soulagé ma peine mais je l’écris quand même, c’est un peu comme une bouteille que je jetterais à la mer et qui voguerait au gré des vents jusqu’à atteindre un jour ce rivage salutaire…

bah au fait tu ne fais ke te plaindre ds ta lettre, au lieu de dire ske tu ressens a celle ki rend les autres fades

meskiiine


maandak, Mr NL si t sincère vraiment vraiment sincère et que t'as aucun doute ( ) sur ta déclaration d'ameuuur ben ... je te dis bonne chance

naaaaaaaaaan -_-

Promis, juré et craché c'est pas moi... je trouve quand même beau, et je dirais juste à NL : bouges ton cul, les trains n'attendent pas, surtout ceux de la vie !

hdartou bezaf!!! ma kdart nakra walou!

parceque tu est tt le temps au fond a droite , forcément tu rate



(elle est pouri je c )

eeliss_asmodea a écrit:

parceque tu est tt le temps au fond a droite , forcément tu rate



(elle est pouri je c )

no comment

mugen a écrit:

eeliss_asmodea a écrit:

parceque tu est tt le temps au fond a droite , forcément tu rate



(elle est pouri je c )

no comment

NL a écrit:

A celle qui ne lira sans doute jamais ces lignes, qui ne saura sans doute jamais ce que mon cœur éprouve, qui sans doute doit penser à autre chose ; enfin à tout sauf à moi et à ce bonheur qui m’est refusé, ce bonheur après lequel je cours sans même m’en rendre compte piégé que je suis dans le Doute et l’Incertitude.
Oui, à toi que je vois presque tous les jours, à toi qui me souris avec amitié quand j’attends le sourire câlin d’une maîtresse attentionnée, oui toi qui occupes mes pensées le jour et mes rêves la nuit, toi la personnification de la grâce, de la beauté, du raffinement, de l’intelligence, toi qui t’élèves au dessus de toutes ces mortelles si fades à mes yeux et pourtant tu ne me vois pas…Tous les jours, j’ai l’occasion de te toucher, de sentir ton parfum suave qui m’enivre, je me contente de si peu alors que je désire bien plus, je te désire, je te veux mais non ma lâcheté me pétrifie, ma pusillanimité m’ôte les mots de la bouche, enfin la peur de perdre ces courts instants de félicité annihile toutes mes tentatives, relègue tous mes desseins au second plan, ma volonté s’efface laissant place à une suite de mots aussi ridicules que banals témoins de mon désarroi et de mon incapacité à transcender cette appréhension de l’échec…
J’écris, et plus les idées que je transcris me renvoient cette image que je m’efforce de ne pas regarder, détournant les yeux et refoulant mes envies, et pourtant le constat est là, sans appel, implacable, tel Cerbère gardant la porte des Enfers, je ne peux m’empêcher de t’aimer, oui le mot est lâché.
Mais il est tellement plus facile de l’écrire, ce ne sont que quelques lettres disposées dans un certain ordre, c’est abstrait, une vague notion dans un océan flou où tout peut être et où le néant rejoint le vide pour former un tout. Donc, me voici, face à cette feuille blanche, ce dépositaire de mes pensées envahissantes qui débordent de mon cerveau endolori qui n’arrive pas à maîtriser ce flux d’émotions qui jaillissent de mon cœur exsangue, j’en suis là, ultime recours d’une âme en peine errant dans le désert de la solitude et pourtant tu es là ; juste à mes cotés. Je te vois, je te sens, je te touche même, me torturant à trouver la plus belle tournure de phrase, celle qui te fera chavirer…Dix fois, cent fois, j’ai préparé cet instant que j’imagine magique, les mots sont choisis, le contexte aussi enfin toutes les conditions sont réunies. Eh bien dix fois, cent fois je me rétracte, je n’ose pas, la crainte d’atteindre un bonheur que je me crois interdit par des forces supérieures, le courage me manque, je balbutie, je bégaye, je sombre…
Pourtant, demain encore en te voyant j’y repenserai et demain encore j’échouerai. Ah pourquoi moi ? Pourquoi Toi ? Pourquoi nous ? Je ne le saurais jamais, mon cœur, gardant jalousement ce secret, se plait à me supplicier, à me consumer petit à petit, à me regarder languir, il jouit de cette souffrance qui m’accable et l’accable tout autant mais c’est un cœur sadique, tortionnaire, perverti, un cœur noir qui n’attend plus rien et qui maintenant déverse sa haine sur moi, une fureur autodestructrice qui me ravage et ne me laisse aucun répit.
Un pas en avant, deux pas en arrière. Ainsi je vais, empruntant les chemins de traverse quand la grand route est libre, allant à pied quand les équipages m’attendent, sabotant moi-même une œuvre qui n’est même pas commencée. Mais commencera-t-elle seulement un jour ? Qui sait ? La providence est du coté des malheureux, dit-on, mais elle ne tolère pas les indécisions, les demi-mots, les non-dits, les sous-entendus, toute cette foule d’échappatoires dont j’use et abuse.
Voilà, ma lettre touche à sa fin, elle n’aura pas résolu mon problème, n’aura pas apaisé mon esprit ni soulagé ma peine mais je l’écris quand même, c’est un peu comme une bouteille que je jetterais à la mer et qui voguerait au gré des vents jusqu’à atteindre un jour ce rivage salutaire…

Enfin mon voisin m'a ecrit!!!



wé c ça je peut toujours révé...

c fou la vie, on aime au mauvais moment la mauvaise personne et on loupe la seule personne qui peut autant nous aimer...bon je me comprends