confession

Invité

Je me confesse et je me languis en pensant à ce 12 aout de cet été, ce mardi matin ou il m’a possédé et qui depuis, me possède encore… je le sens s’agiter en moi comme une anguille dans les veines comme un serpent sur le tapis de braise que je suis. Je brûle et mon baume c’est lui ! et je n’ai hélas que la fraîcheur de son souvenir pour apaiser l’ardent désir qui me dévore. C’était donc en été, j’étais en vacance chez ma tente et l’objet de tout ses bouleversement ne fut que mon cousin, j’en étais éprise, tout me fascinait en lui, son air, son allure, son esprit, sa chevelure… je pensais a lui chaque seconde et quand je pensais pas a lui c t que je le matais, et en effet je le matais même en son sommeil, chaque nuit vers 2h ou 3h du matin j’allais a son lit, quand tout le monde sommeiller et je l’admirais dans son sommeil, mes yeux caressaient son corps ferme, et griffer sa peau luisante de sueur, ma bouche sans le toucher frôler la sienne en avalant sa respiration je restais ainsi a resculpter ce chef d’œuvre de la création et a analyser cette architecture habiter par cette âme si exquise et ce fut ainsi 8jours que ce pélrinage a son lit si jalousé dura ! et au neuvième jour, le matin du 12 aout vers 2h40 du matin dans ma passion flamboyante j’osais grimper sur sa couche et le surplombé a califourchon sans arrivé a le touché, je le couvais de mon corps comme une voûte que des piliers invisibles trouvés racine en son corps bouillonnant de chaleur, couché sur le dos, et a c’est a cet instant que je le vis ouvrir les yeux et moi le surplombant dans ma nuisette humide je me suis soudainement senti envahit par une émotion paralysante, comme un voleur pris en flagrant délit, je sentais chaque muscle de mon corps trembler, je me sentais fléchir, rempli de honte et de confusion, j’en devenais muette jusqu'à ce que je sente sur ma cuisse gauche monter son genou comme un bas de chair et sur son visage se dessiner un doux sourire, ma paupière se fermaient et mes membres me lâchaient, son genou se moula en mon entrecuisse moite, j’en avais presque honte de mon sous-vêtement souillé jusqu'à ce que je sente sur ma croupe atterrir sa main ferme qu’il explorait entre ses doigts comme un abricot. Ma tête s’était abandonné sur son torse verni de sueur mes yeux ne pouvaient se rouvrir j’étais en plein extase abandonné a mon bourreau comme une proie à la mâchoire d’un fauve et en son alcôve je sirotais cette union subtile quand subitement j’entendis un bruit et j’ai pu voir une lumière dans le couloir sombre, par peur j’ai du retourné a mon lit et quitter le lendemain ces vacances habitait par sa présence et qui m’habite à présent moi-même !